En 1985, lorsque la guerre civile au Guatemala a ravagé dans la région de Quiché, les Frères Maristes ont décidé de fonder une communauté à Chichicastenango pour encourager la pastorale indigène.

http://www.rtve.es/alacarta/videos/pueblo-de-dios/pueblo-dios-maristas-del-quiche/4586365/

Le Mactzules est l’une des zones les plus éloignées de Chichicastenango. Il est formé de huit cantons, ou villages, dans lesquels vivent 12 000 personnes. C’est aussi l’une des zones les plus pauvres. La majorité des familles sont engagées dans l’agriculture de subsistance.

Angelina a 15 ans. Il vit dans le canton Mactzules Sexto. Votre famille est très humble. Son père vend des chaussures de ville en ville et sa mère prend soin de la maison. Il y a huit frères, cinq garçons et trois filles. Angelina a une bourse de l’ONG mariste SED. Si la pauvreté est un frein pour que les jeunes continuent à étudier, dans le cas des filles, c’est encore plus compliqué. La tradition pèse encore beaucoup. Surtout dans les zones rurales. L’engagement de SED et des Frères Maristes dans les huit villages de Mactzules remonte au début des années 1990. Ils ont commencé par des ateliers de promotion sociale et de développement. À cette fin, ils ont construit le premier bâtiment qui a rapidement commencé à fonctionner comme une école primaire.

À cette fin, ils ont construit le premier bâtiment qui a commencé rapidement à fonctionner comme une école primaire. En 2015, tous les cantons avaient Une école, à la fin Mais de sixième année il pas d’N’y Avait la base répandrai institut les Poursuivre études secondaires. Dans le Mactzules Basic Education Institute, il n’y a que 40 étudiants inscrits. Sur trois enfants qui terminent l’école primaire dans leur canton, un seul continuer ses études secondaires. Les familles n’ont pas encore réalisé que l’éducation est le seul moyen de briser le cycle de la pauvreté. En 2017, la première promotion de l’Institut de base Mactzules est sortie. Au total, il et avait 16 garçons et filles n’a pas seulement 6 J’ai continué avec le Bachillerato. Le manque de moyens financiers est la principale raison pour laquelle les jeunes ne peuvent pas rester en formation. Angelina est l’un des étudiants les plus remarquables de l’institut. L’ONG mariste Solidarité, Education et Développement, SED, soutien sa formation